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refus d’accueil d’enfants à l’école

vendredi 2 mars 2012 par Radio-Grésivaudan

Affaire Guéret suite : discrimination rampante et/ou dictature médicale. Bientôt 200 jours d’exclusion du système scolaire pour les enfants Guéret. Cela pourrait passer pour un simple malentendu, suite à une erreur d’une administration quelque peu tatillonne. Malentendu qui finit par ressembler à de l’acharnement, si l’on considère qu’un contentieux entre des citoyens et l’administration pèse lourdement sur la scolarité et la vie sociale d’enfants de maternelle qui ne demandent rien d’autre que de mener (...)


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La vie locale

lundi 5 mars 2012

odejavel

Il me semble moi, qu’avant de participer à des rumeurs sans fondements, tu ferais mieux de prendre la peine de t’informer correctement.

La loi dit que seul le DTP est obligatoire, à raison de 3 injections à un mois d’intervalle + 1 rappel un an plus tard, le tout avant 18 mois ( AUCUN AUTRE RAPPEL NE PEUT ETRE EXIGE ET NE PEUT MOTIVER UN REFUS D’INSCRIPTION DANS N’IMPORTE QUELLE COLLECTIVITE ). L’aîné des enfants de cette famille remplit ces exigences, puisque le médecin de PMI de la commune a rempli un certificat comme quoi il était à jour de ses vaccinations obligatoires en 2009. Dans ces conditions, pourquoi la mairie a t elle décidé de refuser cet enfant dans une école publique de la République, dans laquelle le but essentiel est l’apprentissage de tous les enfants à n’importe quel titre et ce, SANS AUCUNE DISCRIMINATION ? L’école n’est pas un lieu approprié pour exercer un acte médical, qui suppose d’avoir un minimum d’informations sur le patient. L’arrêté de février 1952 rend notamment obligatoire toute une panoplie d’examens avant de pratiquer n’importe quelle vaccination. Mais la majorité des médecins qui oublient de préciser aux familles que un certain nombre de vaccins ne sont pas obligatoires en vaccinant avec des vaccins pentavalents ou hexavalents, oublient également leurs obligations en ce qui concerne cet arrêté de 1952 toujours en vigeur. En clair, la majorité des médecins qui vaccinent à qui mieux mieux dans leurs cabinet, ne prennent pas les précautions indispensables et OBLIGATOIRES au regard de la loi, n’informent pas leurs patients ou leurs parents pour des mineurs concernant les risques des vaccins, et refusent par dessus le marché de reconnaître qu’il faut faire un signalement pour effet indésirable grave, et ce parce que dans ce cas là, leur responsabilité professionnelle ne manquerait pas d’être en cause. L’AFSSAPS reconnaît par ailleurs que le cas de non notification d’effets secondaires est de l’ordre de 90 à 99% des effets indésirables graves qui se produisent réellement.

D’autre part, la loi se contredit de manière flagrante avec la loi Kouchner de mars 2002, qui dit que tout patient a le droit d’accepter ou de refuser n’importe quel traitement médical ( vaccin compris), et que le médecin doit recueillir son consentement libre et éclairé, consentement que le patient peut retirer à tout moment. LIBRE ET ECLAIRE, ça suppose que le médecin puisse prouver qu’il a fourni à son patient les éléments de risques du traitement qu’il propose, ainsi que les avantages, et les alternatives, afin que le patient puisse réellement CHOISIR en toute LIBERTE.

De plus ce que l’émission de France 5 n’a pas dit l’autre jour, c’est que c’est bien l’AFSSAPS qui a retiré du marché Français le seul vaccin DTP ayant l’AMM pour les enfants de moins de 6 ans, et ce, suite à de trop nombreuses réactions allergiques. A ce jour, il n’existe sur le marché qu’un seul vaccin ne contenant que le DTP et ayant une AMM, mais cette AMM n’est valable que pour les enfants de plus de 6 ans.

Dans ces conditions, je ne vois pas pourquoi des familles devraient accepter les risques d’un vaccin obligatoire, si l’Etat se désengage complètement de sa responsabilité en cas d’accident après la vaccination lié à celle ci, alors que la loi encore une fois, prévoit normalement d’indemniser les victimes quand elles existent.

Il ne s’agit pas d’une famille qui refuse tous les vaccins en bloc, la preuve, ils ont fait tous les rappels obligatoires pour leur aîné. ALORS ? De plus l’administration leur demande aussi le motif du certificat de contre indication du second enfant, alors que ce motif n’a pas à être fourni d’après la loi, puisqu’il s’agit d’un secret médical qu’on a aucune obligation de divulguer à qui que ce soit.

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