De l’urgence de déconstruire le rêve voulu par le grand capital. S’il est quelque chose d’urgent dans ce bas monde, c’est sans doute de lever le nez, lever le pied, lever les yeux de votre tablette numérique et arrêter d’avaler le rêve des « puissants » de ce monde, non ? On arrive bientôt aux prochaines élections présidentielles. Si cela devait être synonyme d’espoir de changement, nous projetterions avec entrain ce que pourrait être « la politique de demain ». Mais qui d’entre nous peut se réjouir des (...)