La mémoire fait parfois défaut. J’ignore si j’ai déjà évoqué dans cette tribune ô combien libre mon goût pour la lenteur. Si c’est le cas, j’y retourne quand même car ces jours-ci, une force subliminale semble une fois de plus faire converger beaucoup d’événements vers l’éloge du temps qui s’étale... D’abord, le prix reçu par ma comparse Sophie Berger (http://www.sophieberger.com/), ingénieure son de métier qui laisse dans son sillage de magnifiques pièces radiophoniques. Le concours organisé par la radio (...)