Pour un beau gâchis, c’est un beau gâchis. Le foutoir magnifique suscité par le projet de réforme des rythmes scolaires réveille en moi une posture épistolaire militante et vindicative que je croyais endormie. De quoi s’agit-il ? Nous avions entendu, en mars, un candidat dit de gauche, scotché aux sondages, déclarer que la jeunesse de France devenait enfin prioritaire et qu’on allait voir ce qu’on allait voir : les dépenses publiques bouteraient hors de nos frontières, pour cette grande cause qu’est (...)