Je sais, c’est pas très original d’écrire un édito là-dessus, tous les journaux se sont déjà emparés de l’énormité, mais je ne peux pas m’en empêcher, alors voilà, je vous le donne en mille : j’ai moi aussi envie d’exprimer mon indignation sur les chamailleries qui titillent ces jours-ci les deux grands hommes politiques humanistes que sont Copé et Fillon. Mea culpa, je n’arrive pas à résister à l’occasion de tendre un énième doigt d’honneur à ceux qui, il y a pas si longtemps, étaient à la tête de notre (...)