"Désormais, quand il y a une grève en France personne ne s’en aperçoit." C’est par ces mots, en 2008, que Nicolas Sarkozy essuyait à nouveau du revers de sa Rollex dorée, le droit de grève et la liberté d’expression. Indifférence criarde de mauvais goût face à l’importance symbolique de ce droit de s’exprimer et d’exprimer son désaccord, au pays des « droits de l’homme ». Ouille ! Les mots employés impactent les esprits, blessent et humilient peut-être certaines et certains d’entre nous. Et par ce (...)