Tout d’abord, que ce soit dit une fois pour toute, au risque de décevoir l’intelligentsia locale : j’aime mon pays. Cela posé, les temps changent. Arrosage, bakchich, dessous de table, enveloppes, pots de vin, commissions, pour lesquels on ne trouvait pas de mots assez forts si ce n’est corruption, que l’on dénonçait il y a peu comme la gangrène des états sous-développés, sous-entendu ils n’ont que ce qu’ils méritent, sont devenus monnaie courante en pays gaulois. Quand la fin justifie les moyens ce qui (...)