Leur précédent disque démarrait en trombes avec une énorme tuerie live (”Super Inuit”, d’ailleurs repris plus tard par Foals sur un split 45-T entre les deux groupes). Ce troisième album commence, lui, par un premier morceau/intro shoegasé comme au bon vieux temps de My Bloody Valentine. Sans doute un symbole. Parce qu’autant le dire tout de suite, “Latin” (tiens, ils ont suivi le conseil qu’on leur donnait dans la chro du “LP“ ?) est un poil moins efficace –au sens pop du terme- que son prédécesseur : (...)