Il y a des musiciens difficiles à mettre dans les bacs. Des inclassables de génie. De fantastiques réfractaires aux cases. DM Stith est de ceux-là. Avec son premier opus « Heavy Ghost » qui sort cette semaine, il ne fait pas que bouger les lignes : il les ignore, les dépasse, et ne considère que la création. Dès lors, difficile tache pour tout esprit tristement cartésien que de parler de ces « génies musicaux non identifiés » sans les enfermer dans des considérations réductrices. On peut s’essayer à les (...)