Il y a toi, il y a moi, et entre nous un pont ; 1+1=3. Deux univers se rencontrent et enfantent un échange. Il y a le rêve, il y a le quotidien, et entre ces mondes un pont qui fertilise le réel et l’imaginaire. Il y a les femmes, la terre, les grillons, les arbres, la nuit, les champignons, les chats, les chevreuils, toi, le vent, un caillou, une betterave, la poésie, les grenouilles, des indiens, des cosaques, des amazones, des enfants, de l’eau, des gens, de toutes les espèces, de tous les espaces, de tous les temps, et des passerelles, plus ou moins visibles, plus ou moins fragiles, pour voyager entre nos mondes.
Bravo Mathilde, beau retour sur la radio. J’ai bien aimé la lettre de l’anarchiste grec. Et aussi, les chansons ukrainiennes ! Et ce que tu dis sur les cercles ! ça y est, le pont entre les mondes a commencé et, à nous tous maintenant, de "fertiliser le réel". Bises