Sans toit ou mal-logé-es, précaires ou en galère, on passe de lieu en lieu pour dormir, manger, se laver, s’abriter, se loger, faire ses papiers, mais aussi construire des projets, monter des actions collectives…
Les lieux manquants, on les imagine, on les demande, on se les approprie.
Le 11 juin : les gens de la rue sont des habitants, comme les autres pour une journée de fête, de débat et de rencontres pour parler de ce que c’est qu’habiter à la rue, des parcours dans la ville, des projets de lieux comme anciennement La Piscine.
Cette invitation a aussi été adressée aux élus de la Métropole et du Département ainsi qu’au Préfet et à la DDCS (Direction Départementale de la Cohésion sociale).
Au Jardin de Ville, c’est Alain Denoyelle, adjoint à l’action sociale qui défendait la politique sociale de la municipalité, dans le cadre d’une table ronde sur la question du mal-logement organisée ce samedi 11 juin par l’association Parlons-En.
Les principaux concernés, la Direction Départementale de la Cohésion sociale et le Conseil Départemental étaient, eux, absents.
Avec :
Messaouda, habitante de la rue.
Jeanot, habitant de la rue.
Pierre Mahey, du Parlons-en.
Alain Denoyelle Adjoint Action Sociale.
Maryvonne Boileau Conseillère municipale déléguée Politique de la ville.
Christine Garnier presidente de l’EPFL, Conseillère municipale déléguée Accessibilité.