le mandaliste
De son passé, de sa vie professionnelle, Hubert Dal Molin, ne dit pas grand-chose. Tout juste comprend-t-on qu’il a payé (cher) son tribut à la société de consommation. Son expérience la plus valorisante a été celle d’éducateur de rue qui lui a montré la nécessité d’être crédible face à une jeunesse qui ne donne pas sa confiance facilement au premier venu. les autres l’ont conduit au chômage qui n’a fait que conforter sa volonté d’agir, mais lui a permis peut être de retrouver en lui, la force du coeur et de la méditation. Bouddhiste par hasard, il n’est pas prosélyte mais illustre par ses gestes, maquettes, mandalas, gravures sur pierre, l’union et la complémentarité indissociables du corps, du coeur et d l’esprit.